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Experiences near Death: Beyond medicine and religionBy Allan Kellehear. 230 pp. New York, Oxford University Press, 1995. $25. ISBN 0-19-509194-9.
I was sitting around minding my own business when Death — in the form of Allan Kellehear's new book — tapped me on the shoulder. Thinking of my own near miss (1991, back seat of a runaway Checker taxi), I picked up Experiences near Death for more clues to the meaning of life.
Kellehear is an Australian sociologist specializing in health, death, and dying. He considers not just garden-variety near-death experiences (like those associated with cardiopulmonary resuscitation) but also other near misses. Shipwrecks, mining disasters, and mountaineering mishaps are all touched on in his attempt to get "beyond medicine and religion."
Most people are aware of the classic descriptions of near-death: people have an out-of-body experience in which they are tunneling toward the light and reviewing their lives; there is an angelic presence and a feeling of bliss; then they return to the living with a newfound attitude toward life. Kellehear adds to these some curious examples from other cultures: people in poor countries tend not to have the tunnel experience when they come close to dying, perhaps because there are few tunnels in their lives. But they do not pass over bridges or through gates, either, and it is not clear why they do not, because these are a part of their life experience.
Another cultural difference involves seeing one's life in review. People in hunter–gatherer and herding societies who have near-death experiences do not review their lives, but Indians and the Chinese do, just like industrialized Westerners. Kellehear believes this is so because the historical religions of India and China — like Western religions — appeal to individual conscience. He plausibly argues that individual conscience is an idea that predisposes persons to life review in general.
But it is not for cross-cultural surveys that people nowadays pony up for all these books on near-death experiences. They buy them to deepen their beliefs about life after death. People search to fill a spiritual void and desperately seek a glimpse of the beyond. Pop culture will be disappointed in this book; Kellehear is not interested in arguing the truth of these beliefs but rather in what they reveal about society, especially the cultures of religion and medicine. The problem is not his viewpoint, it is a shortage of energy. A friend at lunch one day and a student in my office the following week snatched up my copy; each returned it the next day with a shrug.
One thing Kellehear does bring some energy to, however, is medicine's tendency to get sucked into the life-after-death tar pit. People ask those in the fields of medicine and neuroscience: Don't near-death experiences prove the existence of life after death? Medical specialists then try to give an answer and end up looking dumb. Yet, for a sociologist, Kellehear is surprisingly judgmental of the culture of medicine. He justly criticizes those in medical science for trying to answer nonscientific questions, but he does not know when to stop. This seems a waste since it sidetracks the book from its explicit agenda: to find out what near-death experiences reveal about social deviance and marginality.
Another surprise is the neglect of near-death experiences in history and literature. There must be many examples in old diaries and the literary canon ("The Rime of the Ancient Mariner" comes to mind). Kellehear does tell us there are near-death experiences in the Bible and the Tibetan Book of the Dead but does not tell us what they are. Given the sources that must be available, it seems an odd choice to devote a whole chapter to The Velveteen Rabbit, Margery Williams's classic children's book, but at least that chapter is written with a little warmth.
This book has many facts but little heart, no irony, and no love of human foibles. What it taught me is that the literature on death has to be about life too. Approaching the end is altogether too terrible a prospect if it is done without some smidgen of manic humor. Lacking that and love, Death really does conquer in the end. And its main instrument is dull prose.

James E. Groves, M.D.
Harvard Medical School
Boston, MA 02115

NEJM
Volume 335:65-66 July 4, 1996 Number 1

Et si c'était une sorte de paradis biologique créer peu avant la mort par le cerveau?


je note du texte:

"...ceux-ci ajoute quelques exemples curieux des autres cultures : les gens dans les pays pauvres ont tendance à ne pas avoir l'expérience de tunnel quand ils sont proches de la mort, peut-être parce qu'il y a peu de tunnels dans leurs vies."

C'est une phrase bien tournée et on peut en déduire les multiples interprétations. Mais ceux-ci rejoignent un caractère rationnel.

Ton choix d'avoir collé ton sujet en psycho est intéressant (et non en religion).



...je vais attendre que babs lit l'article qu'elle vient de poster....

ouais, c'était tout réfléchi tsé, le lieux où je postais cet article.
moi, ce qui m'a marqué dans cet article, c'est l'auteur que dénonce le désir des médecins de prouver scientifiquement quelquechose qui n'est pas scientifique et qui relève, comme tu le dis, des cultures, des croyances.
si on pose la question à cent réanimés au sujet de ce qu'ils ont vu...ben, on n'aura pas un argument scientifique concernant la vie après la mort.

cela semble logique, mais on oublie ces choses là!

et puis comme tu le dis, il y a toute ces périodes de préparation à la mort, comment le résuscité peut il avoir la certitude qu'il parle bien de sa mort et non des instants avant sa mort?

bon aller, le prochain article que je vous trouve sera plus rigolo!

J'avais un ami Radiologue qui a vécu un truc similaire et plusieurs de ses confrères ont rélevé des témoignages; pour lui cela peut être une réaction neurologique (à l'exemple des rêves?) produite peu avant la mort.

bref on le le sera jamais... ;-)

Et toujpours pas de répondant....


Que caca et pipi? lol

Quoi , Tu veux qu'on parle de nos expériences ?
Et ben le tunnel j'ai connu mais bon c'est rien que de la chimie du cerveau et le corps ne fait que s'alléger suite à certaines connexion qui se déconnectent donc plus de douleur.
La suite après l'entraînement

Tu as connu ça?

Non je demandais si on peut concevoir que le cerveau produise à un instant bref avant la mort une sorte de paradis biologique? Pour le reste c'est une question d'interprétation (du moins il me semble...).

moi j'ai vu des morts souriants et des morts pas souriants, mais , je me dis que ce n'est peut être as une question de paradis physiologique, peut être qu'il y a des gens qui n'aime pas les tunnels et d'autre bien...

ceque j'ai toujours trouvé surprenant, c'est la sorte de contrôle qu'on a cru percevoir chez les gens mourant d'une maladie de long court sur le moment de leur mort.

les patients en phase terminale de leur pathologie pour lesquels le décès est attendu, parfois ils vivent sans que l'on cmprenne ce qui les retient à la vie, puis, date anniversaire, retour d'un enfant, phrase magique... ils meurent.

comme si le dernier petit fil était coupé par le patient lui-même..mais de nouveau, tout cela peut être simple interprétation.

Je rectifie mon propos:

Non je demandais si on peut concevoir que le cerveau produise à un instant bref avant la mort dans l'état proche de la mort une sorte de paradis biologique? Pour le reste c'est une question d'interprétation (du moins il me semble...).


Sur ce je vais me documenter sur les réacions du cerveau pendant cette phase.

oh moi je suis souvent dans un etat de paradis physiologique!

t'as déjà essayé la cétose???

Le cerveau ne produit-il pas de la dopamine en puissance dans les états proches de la mort?

Dopamine, sérotomine.....

acidocétose

ben ça dépend de quoi on meurt des fois...

cortisone aussi


Dopamine+cortisone+sérotomine

la cortisone, ça donne faim... c'est vrai que souvent, on parle des derniers repas des futurs morts

Sans blague mon grand-père lors de sa maladie c'est relevé en super forme il a mangé pour 10 et le lendemain hop Dead!

Et ne vient pas me dire que c'est parce qu'il avait trop bouffé!

non..mais ..il a mangé quoi?

bon, faudrait trouver un nouveau sujet à discussion ici!

Ouaip : l'homéopathie en question....non?

ah oui tiens!
faudrait partir d'un texte...

chouette sujet